Fondateur lui-même de l'ordre royaliste archéo-perse zoroastrien des Gardiens de la Civilisation Perse, Cyrus ARYAMANESH édita en exil à Paris, après la chute du Shah en 1979, un bimensuel ultra-royaliste anti-islamiste pro-zoroastrien aryanisant de très haute volée intellectuelle Payame ma Azadegan ( Le message des preux Chevaliers, parfois également traduit par La lettre des Libertariens ) appelant à une RECONQUISTA zoroastrienne et royaliste visant à libérer l'Iran aryen occupé illégitimement et illégalement par les ayatollahs sémitophiles et autres entités xénocratiques anti-perses et anti-royalistes.
Frappé d'une fatwa dès les années soixante en raison de son archéo- persisme militant, universitaire de renom, intellectuel engagé, grand militant féministe et anti-islamiste, ancien ministre de la Culture sous le Shah, il anima les toutes premières cellules de résistance contre-révolutionnaires monarchistes qui, en Iran même, luttèrent de l'intérieur contre la funeste Révolution islamique de 1979.
Ultra-royaliste, opposant de la première heure à l'ayatollah Khomeini, contraint à s'exiler après le démantèlement des réseaux monarchistes souterrains les plus actifs en Iran auxquels il appartenait, il fut l'auteur de nombreux livres doctrinaux royalistes archéo-perses édités en exil en France, en plus de la revue susmentionnée qu'il dirigea jusqu'à son dernier souffle de vie.
Celui qui fut le fondateur en exil du très influent ordre royaliste archéo-perse zoroastrien des Gardiens de la Civilisation Perse devait périr tragiquement assassiné le 27 mai 1996 à son domicile de Créteil d'une balle tirée à bout portant en plein coeur et d'une balle dans la tête par les sbires des ayatollahs.
Son oeuvre, sa pensée et son combat exemplaire contre le TOTALITARISME ISLAMIQUE continuent d'influencer un grand nombre de Persans, tant en Iran même, où il était et continue d'être lu sous le manteau, qu'en exil. Ses disciples et ses compagnons d'arme ont poursuivi la voie royale lumineuse et solaire qu'il a tracée pour la RESTAURATION DE LA MONARCHIE néo-antique en Iran, étymologiquement "le pays des Aryens", patrie ROYALE depuis les temps immémoriaux.